Hello les loulous,
Aujourd’hui, on va s’attaquer à un sujet sensible : les phrases pourries en cold call.
Vous savez, ces expressions que vous lâchez machinalement et qui plombent votre appel en 3 secondes chrono.
Le genre de phrases qui transforment un prospect neutre en mur de glace, prêt à vous raccrocher au nez sans pitié.
Si vous vous demandez pourquoi vos calls tournent court, c’est peut-être parce que vous utilisez ces 5 expressions à bannir immédiatement.
1. “Je vous dérange pas ?”
Bah si. Forcément.
Et si je te réponds “oui” ? Tu fais quoi ? Tu me raccroches au nez en t’excusant d’exister ?
Pose cette question et tu viens d’offrir un tapis rouge à un “désolé, pas le temps”.
La bonne approche :
"Écoutez, je vais être bref, je respecte votre temps je sais qu’il est précieux. Merci de prendre l’appel déjà"
Boum. C’est lancé.
2. “Vous connaissez {ma société} ?”
Ah, le chef-d'œuvre du malaise.
Si je dis “non”, tu vas m’expliquer ta vie et je vais décrocher mentalement.
Si je dis “oui”, tu vas essayer de deviner ce que j’en pense et tu perds le contrôle.
C’est une question fermée et inutile.
La vraie entrée en matière, c’est :
"J’ai bossé avec [entreprise similaire] et je pense que ça peut vous intéresser. Vous aussi, vous [problème X] ?"
Bam. Direct dans le sujet.
3. “Je vous prends 2 min ?”
Toi, tu me prends rien du tout.
Surtout que 2 minutes, c’est du mytho. On sait très bien que si je dis “OK”, tu vas me faire un monologue de 5 minutes.
Demander du temps, c’est donner une opportunité de dire non.
Au lieu de quémander, affirme :
"J’appelle pour [problème spécifique]. J’ai bossé avec [client similaire] qui avait [même galère]. Ça vous parle ?"
Vous captez l’attention, au lieu de demander la permission de parler.
4. “C'est vous le décisionnaire ?”
Ouais… donc moi, je suis de la merde, c’est ça ?
Si je dis “non”, tu raccroches et tu pars à la chasse au vrai boss ?
Grosse erreur.
Personne n’a envie de dire “je ne sers à rien” à un inconnu.
La bonne approche :
"Quand j’échange avec [poste similaire], souvent c’est un sujet qui se gère à plusieurs. Qui d’autre que vous est impliqué là-dessus ?"
Moins frontal, plus engageant.
5. “Pourquoi ça vous intéresse pas ?”
Tu veux une réponse brutale ? Parce que t’es chiant.
Cette question met le prospect en position de défense.
Et un prospect qui doit se justifier ne deviendra jamais client.
À la place, ouvrez une porte :
"OK, souvent quand on me dit ça, c’est soit qu’il y a déjà une solution en place, soit que ce n’est pas une priorité. Vous êtes dans quel cas ?"
Vous relancez sans braquer.
Conclusion : Parlez comme un humain, pas comme un robot programmé pour l’échec
En cold call, chaque mot compte.
Vous utilisez encore ces 5 phrases ? Alors ne venez pas pleurer sur votre taux de conversion.
Testez ces nouvelles approches, et regardez la différence.
Allez, au boulot. Et que plus jamais j’entende ces horreurs.
Pas de slides. Du résultat.
Je viens dans tes bureaux pour filer un coup de main à ta team sales sur :
→ Découper le bullshit avec L’art de la découverte
(Reformuler les besoins clients comme un pro, pas comme un stagiaire sous Lexomil.)
→ Mettre fin aux journées "zéro call" avec L’art de la chasse
(Prospection régulière, naturelle, et fun. Oui, j’ai dit fun. Dingue, non ?)
→ Closer comme des machines avec L’art de terminer en beauté
(Raccourcir les cycles de vente. Convertir. Dominer.)
C’est pas une masterclass.
C’est pas un TEDx.
C’est une intervention chirurgicale dans ton tunnel de vente.
Alors, tu veux qu’on attaque ?
C’est tout pour cette semaine les loulous !
Merci pour ton temps, partage cette édition à un.e confrère de la team sales si ça t’a aidé. Et comme d’hab, abonne-toi pour la force, ça fait plaisir👇
Prends soin de toi, amuse-toi, dis à tes proches que tu les aimes.
Le reste, c’est que du business.
Votre Ambassadeur Sales,
Enzo